L’interview croisée #1

À l’occasion du stage aux Sables-d’Olonne de la sélection France, nous vous partageons des interviews croisées des médaillés de Prague.
Aujourd’hui le premier volet entre Maël Delanous et Matteu Caviglioli qui reviennent sur des détails et des événements qui ont rythmé leurs mondiaux.

Dans le groupe, qui était...?

Le plus ronchon ?

Bruno (Anquetil) avec tout ce qu’il devait subir

Alex (Legay), il ne me laissait pas fumer dans sa chambre

Le plus chambrer ?

Ils étaient deux !
Chambreur relou : Julien (Mercier)
Chambreur drôle : Wiwi (William Rambaud)

Wiwi avec Maxence (Vernier)

Le plus bavard ?

Julien (Mercier)

Julien (Mercier)

Le plus dissipé pendant les causeries ?

Julien

Julien

Le plus attentif pendant les causeries ?

Vincent (Voisinot)

Maxence

Vincent Voisinot

Le plus maladroit sur le terrain ?

Julien

Julien

Le plus maladroit hors du terrain ?

Julien

Maxence

Prêt à dormir partout ?

Matteu (Caviglioli)

Moi !

Prêt à manger tout le temps ?

Julien et Matteu !
Le nouveau duo…

Moi !

Qui aurait bien pris une bière en cachette ?

Tout le monde ! On peut même enlever “aurait bien” !

Wiwi

Le meilleur en anglais ?

Maxence

Le coach , Guillaume ! (Ortis)

Le meilleur en franglais ?

Maxence

Julien

Le plus ponctuel / Le moins ponctuel

Christophe (Ternoir)…les deux à la fois

Le plus ponctuel était Vincent, le moins ponctuel, Julien

Le plus fashion / Le moins fashion

Vincent était les deux à la fois, notamment pour ses magnifiques running fluos

Le plus fashion était Vincent avec ses Asics fluos et le moins… Julien

Le plus gros acheteur à la boutique de l’UNIF ?

Maxence ou moi

Tout le monde a acheté quelque chose

Le plus sérieux ?

Maxence

Maxence ou Maël

Le plus souvent sur son téléphone ?

Wiwi #Lavigne

Maël ou moi

Le plus branché sur les réseaux sociaux ?

Bruno

Wiwi

Le plus fêtard après les médailles ?

Jerem à  sa manière ( Jérémy Caramelle ) 

Pas Jerem en tout cas !

NDLR : Jérémy Caramelle
a été victime d’une intoxication
alimentaire le dimanche soir
après la compétition. Il a rejoint
ses coéquipiers tard dans la soirée

Le plus frileux ?

Aucune idée !

J’ai eu tout le temps froid… sans hésiter, moi  !

Le plus bordélique ?

Julien…naturellement !

Julien… et j’étais dans sa chambre !

Le plus tête en l’air ?

Maxence, surtout quand il oublie son short pour la compétition !

Julien

Le plus mauvais perdant ?

Matteu

Moi ! Contre la Slovaquie j’étais fou qu’ils nous donnent le point de cette manière pour ne pas nous laisser à zéro

NDLR : Lors de la demi-finale
en triple contre la Slovaquie,
la France perd 1 set à 0 et 10-0
dans le deuxième set.
Par respect pour leurs adversaires
et éviter à la France une humiliation,
les slovaques donnent 1 point
aux français en ratant un service…

Le dernier à sortir du vestiaire ?

Wiwi

Sans doute Julien

William Rambaud

Le plus demandeur de massage d’Alex ?

Vincent

Jerem

Où as-tu rangé ta médaille ?

Sur une étagère dans mon salon et bien en évidence

Elle est rangée dans un tiroir avec la carte de ma chambre d’hôtel, mon accréditation, un billet de couronnes tchèques, en attendant de les mettre dans un cadre avec les tenues avec lesquelles on a joué si le staff nous les donne.

Ton plus beau souvenir des mondiaux ?

Un top 3 à égalité pour les 3 jours
La balle de match sur le double évidemment et tout ce qui s’en suit.
La vie de groupe dans son ensemble qui aura vraiment été extraordinaire
La communion avec le kop français, notamment après la 3eme place du triple

A titre personnel, jouer devant ma famille : ma mère et ma femme étaient dans la salle (c’est la première fois qu’elles me voyaient jouer).
Mon frère et mon père qui me regardaient de là-haut.
Collectivement, la victoire des gars en double et notre podium en triple évidemment.

Si tu avais pu échanger ton maillot ?

KORE-A !!

Le maillot de Jan Brutovsky (Slovaquie), mon pote avec qui j’ai joué il y a quelques années.

Matteu en compagnie de Jan Brutovski

Un mot sur un adversaire 

La sélection irakienne que l’on attendait pas à un tel niveau même si on s’en méfiait…
Et forcément Adam Fodor, le champion du monde de simple, que j’avais pu affronter à Modrice et que je n’attendais pas si fort aux mondiaux

La Hongrie, groupe jeune, présente en demi-finale dans les 3 disciplines — Le joueur de simple (Adam Fodor) est vraiment très fort.

Ta photo des mondiaux

Celle-ci parce qu’elle retranscrit ce que l’on a vécu que ce soit sur le terrain ou en dehors. C’était fou, c’était des émotions à n’en plus pouvoir

Le
podium de triple quand on regarde tous Bruno.

Tes sélectionneurs en un mot

Passionnés

Guides. Ils ont construit un groupe, ils nous ont réuni. 

Un mot sur le top france

Le plus gros boost d’énergie que l’on ait pu avoir. On attendait des supporters révoltés mais l’ampleur de ce qu’ils nous ont donné a été hors du commun. On ne les remerciera jamais assez, ils nous ont clairement aidé à aller aussi loin

Bruyants.
Tout ce monde pour nous c’était magnifique.

Le Kop français

Un mot pour Alex et Bruno ?

Les indispensables, autant dans leurs rôles que dans la vie du groupe.
Sans Alex on ne tient pas les 3 jours.
Sans Bruno on ne tient pas 5 minutes.

Essentiels.
Réveil musculaire, tickets repas, horaires des matchs, échauffements …
Sans eux on n’aurait pas fait ce beau parcours.

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